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Un peu de philosophie...


On rêve très souvent de la mort. De Dieu, jamais.


La magie de la vie consiste à se servir de l'action pour parvenir à la non-action.


L'intention façonne la réalité. Nous devenons ce que nous pensons.


Le temps, c'est ce qui empêche tous les événements de l'univers de se produire en une seule fois.


Celui qui saisit les phénomènes comme réellement existants est aussi stupide qu'une vache, mais celui qui saisit l'absence d'existence des phénomènes, la vacuité, comme réelle, est encore plus stupide qu'une vache.


La réalité se trouve dans les yeux de celui qui regarde.


Rater le train n'est pénible que lorsque l'on court après.


Être vieux, c'est juste être jeune depuis plus longtemps que les autres.


Plus l'état de la planète se dégrade, plus notre espérance de vie augmente. Le jour de la fin du monde, nous serons donc peut-être devenus immortels.


Le bonheur, c'est le bandeau de velours que s'impose l'esprit pour ne pas voir la souffrance.


Temps-Espace

Départ absolu

Aux frontières de la perspective holographique : matière et vacuité

Le paradoxe EPR

Le pendule de Foucault

La méditation

Bouddhisme, kézako ?

Le pessimisme de Schopenhauer

Départ absolu

"Toujours plus tard, je commençai à partir. Ce n'était que le long début d'une fin sans fin dont les limites restent impénétrables. Mais le ciel fut témoin de l'extraordinaire présage que je lus en lui : ce n'est pas parce qu'il vit que je suis convaincu qu'il voit, pas plus que je ne suis sûr qu'il est."

Ce n'est que l'apanage des riches de dire que la terre est ronde alors qu'elle pourrait ne pas l'être tout en continuant inexorablement à tourner. Le fin du fin consisterait à dire qu'il n'y a rien d'autre que ce qui est dit, ce qui, en fait, reviendrait à ne pas le dire tout en le disant. Le problème n'est donc pas linguistique, ni même métalinguistique. Un départ ne s'affirme jamais que dans son accomplissement ordonné dans une direction précise.Dès lors, on est en droit de penser que la direction est fixe et le mobile insignifiant. Le toujours est donc lié au peu d'importance des mouvements concrets que l'on accomplit tous les jours;sans ce postulat,on ne peut concevoir de veilles aux lendemains sans en déduire leur absurdité.Ce qui fait que le temps est définitivement insondable dans sa totalité : les valeurs entières ne sont jamais que des cas particuliers de démissions successives de l'un devant le tout.Ce qui revient à dire qu'un départ est toujours l'indice d'un retour possible quant à l'absurdité de ce qui l'a motivé.

Axel Chambily, 1974



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© Axel Chambily - Casadesus 1998 -